Propreté & Environnement



carr---orange.jpgCe n'est pas un sujet trivial, bien au contraire : c'est notre cadre de vie quotidien !  Il touche à des aspects importants de la vie locale : 

 
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           - le bien-être de ses habitants,

 

 

 
            - l’image que la ville donne d’elle-même
            aux passants et aux personnes qui
            envisagent de s’y installer,

 

 

 

            - et même la sécurité.

 

 

Les bases d’un tel effort existent, car on ne peut pas dire que rien n’ait été fait ; mais il suffit d’ouvrir les yeux pour constater que cela ne va pas encore. Pourquoi a-t-on, en maints endroits, cette impression de saleté, de laisser-aller, de désordre ? Il faut être conscient que le résultat ne sera pas acquis seulement par l’action de la municipalité, mais par l’action de tous.

 

 
>>> Notre programme :



 Les bases d’une amélioration existent :

 

- La collecte des ordures ménagères se fait au moyen de bacs hermétiques depuis plus de dix ans ;

 

- Elles sont ramassées deux ou trois fois par semaine, selon les lieux, par une entreprise concessionnaire (NICOLLIN) en application d’un contrat récent ;

 

- Le tri sélectif (verre d’un côté, papiers et emballages de l’autre) est en place depuis cinq ans et commence à porter ses fruits ;

 

- L’enlèvement des encombrants est fait une fois par mois en porte à porte ;

 

- Une déchetterie, gratuite pour les Choisyens, existe depuis 1999 (au bout de l’avenue d’Alfortville, sous le pont de l’A 86), à partir de laquelle les déchets (bois, métal, appareils hors d’usage, branchages, gravats, etc.) sont triés en vue de leur recyclage.

 

 

Les quatre axes d’amélioration dans lesquels il faut s’engager :

 

 

1. Agir sur le ramassage des ordures ménagères

 

 

- D’abord auprès de l’entreprise de ramassage pour ajuster les horaires en tenant compte du fait que beaucoup de personnes sont absentes de leur domicile dans la journée, afin que le ramassage se fasse à un moment où les gens sont là pour sortir et rentrer leurs poubelles sans les laisser dehors.

 

 

- Ensuite auprès des bailleurs et des copropriétés de grands ensembles où le problème est le plus critique :

 

 

                   - Les conteneurs doivent être sortis au moment du ramassage et rentrés aussitôt après, et non plus traîner dehors toute la journée ;

 

                   - Les conteneurs abîmés doivent être immédiatement réparés ou remplacés pour que tous ferment et que rien ne déborde ;

 

                   - Les ordures répandues par terre doivent être ramassées

 

- Enfin, auprès de tous les habitants, notamment dans les quartiers pavillonnaires :

 

                   - Sur les sorties de poubelles, sur leur entretien, et sur les ordures qui traînent ;

 

                   - Jusqu’à verbaliser ceux qui s’obstineraient à ne pas se plier à la discipline commune malgré les rappels à l’ordre (cf. point 1.3.).

 

 

 

2. Lutter contre les dépôts sauvages

 

 

- Par une surveillance effective et serrée des lieux où l’on trouve le plus souvent des dépôts sauvages (ils sont connus) ;

 

 

- Par des avertissements aux contrevenants, suivis d’une verbalisation si nécessaire, avec obligation de récupérer ces dépôts (cf. point 1.3.).

 

 

 

3. Mieux entretenir les espaces publics

 

Le « syndrome de la vitre cassée »

 

Si une vitre brisée n’est pas remplacée rapidement sur un bâtiment propre, les autres vitres connaîtront bientôt le même sort, puis les portes, etc. Dès que se multiplient les signes d’abandon, le vandalisme se manifeste, suivi de comportements délictueux. Les petites incivilités, si elles ne sont pas reprises rapidement, en favorisent de nouvelles, et entraînent par contagion une dégradation plus large à laquelle il devient de plus en plus difficile de remédier.

 

 

Le « syndrome de la vitre brisée » nous enseigne que l’on doit impérativement réparer vite toutes les dégradations qui sont commises sur l’espace public (mobilier urbain abîmé, tags sur les murs, mais aussi trottoirs endommagés, bornes basculées, etc.). Aujourd’hui, trop de temps s’écoule entre le signalement d’une dégradation et sa réparation.

 

 

Une action majeure :

 

Mettre en place une équipe d’intervention rapide au sein des services techniques de la ville, pour que les petites réparations soient effectuées dans les 24 h.

 

Une action complémentaire :

 

Multiplier les poubelles publiques, notamment dans les lieux les plus fréquentés et aux abords des cafés, débits de tabac, etc.

 

 

 

4. Lancer une grande campagne d’information et de sensibilisation

 

La lutte contre l’incivilité passe par un vigoureux effort de communication et d’information, préalable à toute action répressive :

 

- « Une ville qui se veut à l’image de ses habitants : avenante. »

 

- « Que chacun balaye devant sa porte ! »

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