Impôts

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carr---orange.jpgLes impôts ne sont pas autre chose que la contribution de chaque habitant à la vie commune. C’est pourquoi ils doivent être prélevés avec mesure et, plus encore, utilisés avec attention et souci d’économie

 

L’histoire de la gestion de Choisy par les communistes est celle d’une hausse ininterrompue des taux de la fiscalité locale depuis plus de 18 ans ; et par conséquent d’une augmentation de la charge fiscale par habitant très supérieure à l’inflation.

 

 

En dépit de cela, le budget de la ville est de plus en plus tendu, tandis que les marges de manœuvre se réduisent et que la capacité d’épargne s’amoindrit.

 

 

- Comment arrêter la spirale infernale ?

 

 

- Comment renverser la tendance pour retrouver la maitrise de notre avenir ?

 

 

- Comment travailler mieux avec les ressources actuelles, de façon plus efficace, pour financer les actions nouvelles indispensables sans alourdir la charge fiscale des Choisyens ?

 

 

>>> Notre programme : 

 

 

Les impôts locaux sont devenus un sujet de préoccupation important pour tous nos concitoyens. Ils incluent les taxes communales (qui représentent ici environ les deux tiers du montant figurant sur nos avis d’imposition), mais aussi les taxes départementales et régionales dont la croissance est aujourd’hui très rapide en raison des politiques suivies par ces collectivités sur lesquelles la commune n’a évidemment pas de prise. De plus les bases d’imposition sont calculées et gérées par les services fiscaux de l’État.

 

Une municipalité peut agir sur un facteur : sur le taux des taxes communales. On sait qu’à Choisy, ces taux n’ont pas cessé d’augmenter depuis plus de vingt ans. D’ailleurs, le maire communiste sortant a d’ores et déjà prévu de continuer dès le mois de mars, aussitôt après les élections.

 

Nous prenons l’engagement de ne pas augmenter les taux des trois principaux impôts communaux (taxe d’habitation, taxe foncière, taxe professionnelle) pendant notre mandat.

 

 

Seule la taxe d’enlèvement des ordures ménagères suivra l’évolution du coût du service pour l’équilibrer.

 

Ce sera difficile car la situation financière de Choisy est précaire :

 

- Son potentiel fiscal (qui mesure la richesse des habitants et des entreprises présentes sur le territoire communal) est inférieur de 26 % à la moyenne des villes de même taille ;

 

- Malgré leur poids, les impôts directs ne couvrent que 55 % des dépenses de fonctionnement de la ville et 48 % de son budget total (investissement inclus) ;

 

- L’épargne réelle est négative : l’autofinancement dégagé à hauteur de 1 million d’euros, déjà maigre au regard du budget de fonctionnement, ne suffit même pas à rembourser les emprunts venant à échéance et qui s’élèvent à près de 2,4 millions d’euros : une part des nouveaux emprunts qui seront contractés cette année servira donc à rembourser les anciens, ce qui est le signe d’une crise ;

 

- Or la ville devra faire face à de lourdes dépenses qui se profilent dans un avenir proche : d’abord le comblement du déficit de la ZAC du Port, et ensuite la réalisation de l’Opération de Rénovation Urbaine.

 

Mais c’est une nécessité par égard envers les habitants : notre impératif sera donc de travailler mieux avec les ressources actuelles, et de façon plus efficace, tout en dégageant des marges de manœuvres pour financer les actions indispensables.

 

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