Culture


Bandeau-culture.jpg

carr---orange.jpgLa culture peut constituer l’un de points forts de notre ville, et contribuer à son rayonnement en même temps qu’à l’ouverture et à l’élévation d’esprit de ses habitants.

 

 

Notre ville dispose d’équipements importants et de qualité. La municipalité communiste en fait-elle le meilleur usage ? 

 

Il faut souligner des réalisations incontestablement positives :

 

- Le Conservatoire ; 



- La Médiathèque ;



- Le service municipal de documentation sur le patrimoine local ;



- La restauration intérieure de l’Eglise Saint-Louis (réalisée à l’heure prévue grâce à l’intervention de l’opposition) ;



- Le cinéma Paul-Eluard (obtenu grâce à l’opposition).


Mais nous sommes à la croisée des chemins. En particulier, la gestion du Théâtre Paul-Eluard est parvenue à un point critique car son avenir n’est plus assuré.

 

 

On peut faire mieux dans le cadre technique qui existe. La culture a un coût : c’est entendu. Ce coût peut être assumé par la collectivité ; mais à condition que la démarche culturelle, nécessaire à l’épanouissement de tous, ne soit pas dévalorisée par une politique inadaptée.

 

>>> Notre programme : 

 

 

 

1. Des réalisations positives auxquelles l’opposition a contribué :

 

Le Conservatoire : rénovation du bâtiment réussie dans le cadre de la réalisation de la ZAC du Dr Roux ; qualité de l’enseignement musical, apprécié bien au-delà de la ville, dont les Choisyens ont pu se convaincre à l’occasion de divers concerts.

 

La Médiathèque : avec une action positive de modernisation de l’outil, et un effort d’ouverture en direction de publics différenciés, même si la fréquentation par les Choisyens (1 sur 4 en moyenne) peut sembler encore insuffisante.

 

Le service municipal de documentation sur le patrimoine local, qui répertorie celui-ci dans le cadre des opérations nationales d’inventaire, et qui s’efforce de mieux le faire connaître.

 

La restauration intérieure de l’Église Saint-Louis, étant précisé qu’il a fallu surmonter les réticences de la municipalité actuelle, et que le déblocage des subventions de l’État et le démarrage du chantier en temps et heure ont été obtenus grâce à la mobilisation des parlementaires UMP par l’opposition (ce qui n’a pas empêché la municipalité communiste de procéder ensuite à une opération de récupération). Mais la toiture n’est pas terminée et tout l’extérieur reste à faire : il faudra y procéder.

 

Le cinéma, un équipement apprécié que la ville doit à l’opposition : Il y a dix ans, la majorité socialo-communiste s’est divisée sur sa construction au point qu’une première délibération du conseil municipal avait abouti à son rejet. L’opposition est alors intervenue pour conditionner son soutien par une révision telle que sa réalisation et ensuite son exploitation soient mieux équilibrées. L’ayant obtenu, elle l’a approuvé. Chacun peut s’en féliciter.

 

 

 

2. L’avenir du théâtre Paul-Éluard

 

Depuis le 1er janvier 2004, la municipalité a repris le théâtre en régie, donc restreint son autonomie en y imposant davantage sa marque. Répondre à un problème de fond, celui de son avenir et de son contenu, par une réforme purement institutionnelle est bien le propre d’une démarche idéologique.

 

Résultat : la charge que le théâtre fait peser sur le budget communal croît de façon continue : la subvention municipale a augmenté de 47 % en 4 ans.

 

Sachant que l’outil technique que constitue le théâtre avec ses installations est de bonne qualité, on peut faire mieux, en faisant autrement. Comment ?

 

- En redonnant son autonomie au théâtre sur la base d’un cahier des charges clair, comportant des engagements réciproques à long terme entre le directeur et la ville, tant en ce qui concerne les objectifs culturels que l’exploitation ;

 

 

- En inscrivant dans les objectifs culturels des exigences d’ouverture :

              - Notamment vers le jeune public, en partenariat avec les écoles, collèges et lycées (sans exclusive),

              - En favorisant l’accès aux grandes œuvres parce qu’elles constituent la base de notre culture, et ce, de façon équilibrée sur tous les plans,

 

 

- Surtout, au sein d’une région parisienne où l’offre est vaste et diversifiée et où il est vain de raisonner de façon autarcique, en y créant un pôle d’excellence : puisque la ville dispose déjà d’un Conservatoire de qualité, pourquoi ne pas conforter l’un par l’autre pour constituer un pôle musical qui rayonne et fasse connaître notre ville autrement que par ses embouteillages ?

 

 

La culture a un coût : c’est entendu. Ce coût peut être assumé par la collectivité ; mais à condition que la démarche culturelle, nécessaire à l’épanouissement de tout homme, ne soit pas dévalorisée par une politique inadaptée.

 

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